Les mots me tuent d'une vivacité brute. Enlacé et tourmenté dans ce doux péché, La réalité et l'excès de l'insensé, Me prennent et m'emmènent, illusion née !
Oh danses envoutantes de désires ardents, Tantôt encensées, sonorités dogmatiques, Tantôt rejetées, préjugés innéiques, Mais au combien aimées, souffrance lyrique.
Tourment empoignant chacune de nos âmes, Tourment synonyme de quasar de la vie, Soyons sûre de nous, pauvre de nous.
Implosion de bonheur issu de nos cœurs, Implosion de nos corps libres d'expressions, Les mots me font vivre d'une douceur continue.