Combien de femmes au portrait véritable Ouvrent la flamme d'un regard sincère ? Qui aux yeux noirs de son café semblable Versent l'Amour à mon Cœur qui se sert ?
Contez moi les arômes de ses charmes Qui terrifient mes nuits d'un goût amer, Mais me font rêver qu'ont baisse les armes Et de nos corps torréfiés qui se serrent.
Comme le vieux berger d'Abyssinie Se revêtit de ces rondeurs de rêves, J'ornerai tes seins d'un corset d'ici, Et d'un vers corsé, pour tes yeux de fèves.