Je porte à ma plume la légèreté ; Etre Ailleurs, libre et pensif. Le soir le ciel abonde En couleurs chaudes et mats à la cime du Hêtre, Je peux voir, tout en haut, Qui navigue le monde.
Quand de mon corps mué je tirerais la peau Et que mon âme nue baignera dans l’Aube Glissante, Elle ira loin sur les vagues d’eau, Elle ira loin nager, se liquéfiant à l’Aube.