La nuit éternelle appelle l’océan. Chair en feu de braise au désir éphémère Se fond doucement dans des eaux de prière, Dissout le soupir, la mer frémissant… Au baiser de l’âme un souffle renaissant, Clair obscur voilé d’un vague baptistère De l’imaginaire l’onde est la nourricière L’étoile est étreinte au délice couchant