T’instiller dans le cœur L’absinthe des nuits pourpres Et un poison de vie bouillonnant de joie fauve, Électriser le feu Qui luit dans ton regard En effleurant les fruits des vergers de tes courbes Et la sève-piment Qui s’écoule en tes veines, Délicieuse souffrance des passions qui crient Leur extase lunaire aux songes de la nuit Et t’accueillir enfin Au bain de mes mystères Pour scintiller de toi comme une étoile d’ambre.