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Olivier VAN BUNDEREN

Présence (à toi Kellyn)

Lorsque je te regarde et que mes mots touchent ta peau,
Désolé si par mégarde, ton sourire charmeur me rend penaud.
Juste que tu es loin, et je veux être si près de toi,
Entendre tes soupirs, et suivre tous tes pas.

Lorsque tu te sens mal et que je le ressens,
Désolé si ton râle, m’atteint à présent.
Juste que tu es spécial, et si cher à mes yeux,
Que dans ces moments je souhaiterais être deux.

Lorsque la nuit les larmes viennent une nouvelle fois,
Désolé de ne pas être toujours près de toi.
Juste que je le voudrais, le savais-tu mon orpheline ?
Pour te consoler et te serrer, tout contre moi, câline.

Lorsque le soleil dans ta vie se met à briller,
Désolé de ne pas disparaître pour ne point te gêner.
Juste me faire plus discret, telle une colombe,
Mais c’est impossible, j’ai trop peur que tu retombes.

Lorsque ce jour arrive ou arrivera,
Je t’en supplie dés lors préviens moi.
Que ce sourire si beau qui te va si bien,
Je le fasse apparaître et redevenir tien.