A toi qui me fais plus pleurer plus que les autres
A toi qui me fais plus pleurer que les autres Lorsque tu ne me reconnais pas malgré toi Mes pleurs sont invisibles, au plus profond de moi Exulté par ces cris, douleurs profondes en cotte Pourtant je te donne, aujourd’hui la preuve Que je suis de ceux la, un amoureux du phare Celui des mots ou pointe, la sortie de mon œuvre Et l’hommage rendu, à quelqu’un d’un autre art Tes mots me font mal, car je t’aime plus que tout Toi qui prit rôle seule, pour le bien de nous deux Déchus par notre sort, de ce père malheureux Tu fis que la vie soit, encore belle et douce. Je rêve tous les jours, du temps où à ton tour Tu accepteras bien le trait de mes contours Où tu croiras en moi comme j’ai foi en toi Et à tes choix de vies, élevé sous ton toit Je ne te cite pas, je t’aime, sans doute, tu te reconnaîtras