Le retour du vieux Rancune, sous la peau Tribunal, cage de sots La haine du trot au galop Sous les yeux rien ne vaut. Détachant mal ses mots Tout autour que du faux. Survivant, au huit clos Il s’est arraché aux maux. Toute sa vie, sous la tire Devant lui quoi lire Il savait bien écrire Il est, notre porte mire. Du l’ail pour le détruire L’esclave, n’a pas vu pire Du sel et piment pour nuire Brave, il gardait le sourire L’injustice l’a fait vieillir. Gardant l’espoir pour rajeunir Dans ce trou point mourir. Dans la plume son élixir Fatigué de conter il se retire Dans un coin pour dormir Demain, un bouquet à offrir Au mauvais lecteur de rougir.