Je n’arrête pas, je n’arrête plus, De griffonner, Sur n’importe quel papier, A n’importe quelle heure, Pour rire ou pour pleurer, Ou juste flirter avec des mots, Avec des phrases...
En hiver ou en plein été, je n’arrête pas, Je n’arrête plus, de griffonner Et je ne sais pas pourquoi, J’écris sur n’importe qui, Je prose sur n’importe quoi...
Et les lettres swinguent, Et les syllabes font samba, Dans des cahiers ou sur des morceaux de feuilles colorées Sans que je sache vraiment pourquoi le crayon glisse Et s’enivre dans cette bouleversante étreinte...