Esquive, esquive Pars à la dérive N’imaginant pas toute l’incertitude laissé, Possédant comme unique bien, ta simple conscience refoulé, Enlevant tout attachement inutile, A ta sordide sottise Esquive, esquive ta connerie vantardise.
Mon être se vide, ton âme se remplit C’est un contrat inégale et inapte à apaiser ma conscience d
Nos rires lointains ne s’entend déjà plus, Esprit du diable, hantise éternelle Dégage et sort de ma créature, Vive est la liberté, en cette rivalité absurde.
Comme une larve dégueulasse Tu rampes dans ce lieu de crainte. La peur t’oppresse, Innocence divine. Je me blesse et me déchire Face à l’infortune pitié maladive, abusive.
Mon œil reste hébété, dans cette éternité noire, Remuant les joyeux souvenirs, Que ton être n'a pas su garder.