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Marie COLLIGNON

Pénombre de toi.

Aujourd'hui ton nom ne m'émeut plus que quelquefois.

Quelquefois. Parfois. Dans l'ombre ou la pénombre de toi.

Je souris souvent pour oublier que la vie sans toi est une l

Oublier. Oublier qu'un jour je t'ai aimé, comme aucune aut




Elle m'appelle. Ou? Je suis morte de toi depuis un an maint

Je n'ai plus vraiment de raison. De raison de vivre. D'écr

Je lui réponds. C'est pour elle que j'espère encore renait



J'ai peur pour deux. J'ai peur car elle est tout, mon clic

Je veux qu'elle est la sensation de nous, encore, de ses de

Mais quand elle pleure. Quand elle pleure c'est plus longte



Je n'arrive pas toujours. Je n'arrive pas toujours à arret

Je ne peux pas. Entre vie et mort. Ces pleurs-la nous suiven


Aujourd'hui je suis plus mère que toutes ces femmes qui ose



Nous avions été la chercher un mercredi, il faisait beau et

Les médisances des gens dans nos yeux n'étaient plus que de

Elle était notre fille. Enfin la famille dont tu revais. Chl

Laure est morte un mercredi. A l'hopital. Chloé s'était en



Je pleure encore. Dans ce grand lit froid, ou je m'allonge

Dans ces moments, je pousse la porte, m'asseois et l'écout

J'y passe des heures. Des nuits. C'est ce que j'aime fair

Et plus je l'observe, plus ses traits semblent devenir les