De Sarah je ne sais, que douce gentillesse, Que plaisirs partagés autour d'un bon café, A discuter de tout ce qui nous intéresse, Et forcer un destin qui n'était pas bien fait.
De Sarah je ne vois, que la belle déesse, Lorsqu'elle va vêtue, comme un coquelicot Et qu'on lui dit trois fois, au revoir à la messe, Presque pour l'inviter à son prochain fricot.
Je ne connaissais pas de Sarah, la détresse, Les larmes, la douleur d'un amour fracassé, Je n'avais pas compris ce destin qui la blesse A tel point que j'en sois fortement agacé.
Alors, chère Sarah, si tu lis ce poème, Si mes mots sont aussi les mots que tu entends Parlant de toi souvent, à Dieu je laisse un "j'aime" Pour qu'il te donne enfin tout ce que tu attends