J'aime la douceur de votre regard, Savoir que vos yeux Sur moi se posent et s'égarent, Même si parfois ils se voilent Pour mieux échapper à ceux Qui ne croient plus aux étoiles.
Je redoute vos absences, Et crains votre présence, Sentant en moi se tendre le lien Qui lie mon coeur entre vos mains.
Car nos rêves, quand ils prennent forme, Nous engagent, nous transforment. Et je devine en moi un inconnu Dont nous pourrions tous deux être déçus.
L'Azur ne se teinterait-il pas de parme Si je succombais à votre charme ?...