Sur l'eau de tes bassins naviguent des navires Que des yeux enfantins dévorent de plaisir. Le promeneur qui vient se plaît à parcourir Tes multiples chemins tracés de souvenirs.
Dans un calme olympien, tes allées voient surgir Des passants citadins que ton espace attire. Le regard au lointain, l'obélisque pour mire, Ils scrutent tes jardins qui lentement s'étirent.
Le Louvre pour gardien dont la beauté inspire Regarde, souverain, ton Carrousel d'Empire. Des esprits parisiens qui hantent l’avenir
Donnent aux historiens un passé à décrire : Une reine, un matin, a rêvé de s'offrir Un palais florentin dont restent les soupirs.