Apogée de l'enfance, Automne de mes automnes, Tes espoirs utopiques en moi résonnent, Tel un chant de délivrance.
Mais déjà les feuilles s'égarent en trance, Dans le tumulte et dans le vent, Et ma vie aussi convole lentement, Malgré elle vers contrées de souffrances.
Oh pays de pleurs, pays d'ennuis! Je ne veux point t'appartenir. Pays d'adultes, pays d'avenir, Je te hais, je te maudis!