Il y a des moments où La vie n'est qu'un fuseau horaire démembré Quelque que soit la sagesse, tout succombe Dans la plénitude d'un astre de solitude. L'immense prairie de ma chaise électrique L'odeur de ma fesse gauche Et le désespoir de ma fesse gauche Tout rebondit ainsi sur le membre droit Que je découpe tel le fuseau horaire de mes rêves
Ainsi, quelle est cette étrangère qui me capte à peine ? Satellite de mon cœur, n'a point de récepteur