C'est la Lune qui me l'a dit, Une fin d'août en pleine nuit, Viendra le jour où la folie, Récoltera mes chers oublis,
En se posant les questions malsaines, Éternisant d'ennuis chaque semaines, Recherchant une paix de valeur incertaine, Aux profondeurs de sombres problèmes,
La répétition est une fin en soi, Inévitablement la prochaine et l'autre fois, Qui permettra ce qu'adviendra, À ce monde d'enfants et de parents rois,
Planifiée et belle comme une suite, Perpétuelle libre et fortuite, Douce sensuelle et simplement magnifique, Une vierge imaginaire évidement maléfique,
Si la clémence des temps perdus reforge l'espoir, Comme une marche en pleine rue d'une nuit noire, Rien de moins certain que de savoir, Reste le replis sur l'encens du boudoir,
Même de mes ongles je graverais les pierres, Comme le sable de civilisations entières, Que suis-je? Que de poussière; Entre le triste et l'éphémère.
