Je fais une prière pour oublier mes souvenirs prisonniers, Qui capturent mes rires dans un fracas de lucidité, Et dès que je pense à son regard émerveillé, Je pourrai oublier en une seconde les malheurs de ce pauvre
Juste le temps de me rappeler de toutes ces larmes usées Et, quand je sors de cette belle agonie, je suis choqué Par les autres et leurs sentiments édulcorés qui ne font que Sans jamais arriver à me toucher
Parfois, je rêve de cette époque où Colombe était liberté, Et cette fausse lumière me transperce les yeux pour m’empêch Malgré que je sache qu’elle a raison car cela est mal d’imag A ce qu’aurait été notre vie non gâchée par la simple stupid Des vieux et de leurs Dieux.