Il manque à mon bonheur ce merveilleux dictame Cette douce chaleur qui réchauffait mon être Quand l’âtre de tes yeux rayonnait de la flamme De l’éternel amour ; avant de disparaitre
Qu’il soit parti ainsi, sans un cri sans un mot Sans quelque noir présage et ni même un remord A terrassé mon cœur d’un incessant sanglot Où mon âme dérive au gré du mauvais sort
Et ce manque à ma vie a planté la semence D’une fleur de chagrin aux couleurs du néant L’espoir qui fut un temps, objet de dépendance A fui comme cet hôte un matin de printemps