Il faut partir mon cœur. Silence ! Ne trahi pas mon vil dessein Fais taire ma peine en ton sein L’heure n’est plus à l’insolence
Vois, le néant dans son regard Nous sommes devenus ténèbres Chut ! Etouffe ton cri geignard Il sera sourd aux chants funèbres Il faut partir…
Fais-le pour moi, pour nous, mon tendre Nous sommes désormais de trop Viens ! Prenons le dernier métro Puisqu’on ne peut plus rien prétendre Il faut partir !