Quand sonnera l’heure de partir Je m’envolerai sans repentir Pourquoi me mentir ?
Je ne pleurerai pas l’existence Bienheureuse de m’en dévêtir Car bien qu’elle ait su me divertir Sans m’appesantir Ce ne fut jamais sans incidence
Nuls regrets, ni crise de démence Ne viendront troubler ma conscience Dans sa transhumance
Quand sonnera l’heure de partir Je ne prierai pas Dieu, l’excellence ! Je n’ai que faire de sa clémence Mon âme est essence… Je m’envolerai sans repentir