Le ventre mou et bedonnant Le teint gris, la joue qui se ride La bouche à l’haleine putride La vue vive l’abandonnant L’urine déjà moins torride L’ont plus abattu en un an Qu’en dix ans
Pour dénoncer l’âge arrivant En coup de vent qui le sang glace Et tord la face dans la glace Ce sera mieux en écrivant Qu’hélas, il n’a plus là sa place En allant déjà dérivant Qu’en disant.