Les bâtiments ont collé des maisons Pour que leurs toits se tiennent bien ensemble Et des cloisons pour séparer les gens Qui de se voir n’ont pas vraiment l’envie En avançant qu’un certain Jean Nardin Fait de son mieux pour supporter Annie Bergerot qui reste au rez-de-chaussée Avec un chien à la voix aux abois Et Anne qui n’est jamais déchaussée Au premier a la fâcheuse manie De marcher dans ses sabots de jardin Pour ennuyer la jolie Octavie Amoureuse de monsieur Nardin Jean Qui toute la semaine désassemble Des bâtiments à remettre en maisons.
