La beauté vient cousue dans l’or blanc du silence Immobile et discret Quand s’avance en tremblant l’horrible turbulence Dans les pas du concret Férue de l’avenue, de la rue commerçante Flanquée d’atrocités Captant les gens unis en foule menaçante Se sentant trop cités Par les affligés du brouhaha qui enchante Ces sortis du carcan Nus puis vêtus dans la turbulence méchante Qui apeurée part quand La beauté vient cousue dans l’or blanc du silence.