Je t’aime, parce qu’une pomme, un jour, Croquée par Eve, est tombée sur Newton, Parce que la verve des troubadours Se chantait sans le nom des hormones.
Nature et culture en controverse. La peur et les virus au même camp. La science qui souvent bouleverse. Les callapsologues en fin des temps.
Les atavismes refont surface. Chacun pour soi frissonne de crainte. Les connaissances sont à leur place, Evitons de leur porter atteinte.
Le vécu sent la tripe, la sueur. La raison se perd dans des soubresauts D’états d’âmes noires, nourries de peur. Bientôt, les prophètes des temps nouveaux…
Humaine nature d’amour et d’humour, Raison de chair, de neurones, d’espoir. Empathie et distance en carrefour Croisent leurs désirs et leurs désespoirs.
Pandémie sur une Terre ronde, Que des imbéciles disent plate. Un seul virus, nature du Monde, Les hommes sciences loin des primates.
Demain sera encore à connaître Les méandres infinis du savoir, Jusqu’aux sources de chacun des êtres. Culture et nature au cœur des pouvoirs.