J'aime voir à l'aube les bateaux amarrés, Dévoilant des formes, des contours imprécis. Le jour se lève sur les pêcheurs affairés, Prêts à braver une mer de tous les soucis.
Sur le quai les femmes sont en chapeau de paille. Le groupe assemblé est comme un bouquet de fleurs. Elles vendent le poisson sans souci de leur taille, La marée fraîche ici, ajoute ses valeurs.
Dans ce pays que j'aime comme étant le mien, Quand le ciel s'éclaircit, quand la rade s'anime, J'ai le cœur vietnamien.
Le centre-ville est un milieu effervescent. Les deux roues s'y croisent dans un calme absolu. Ils roulent malgré le trafic toujours croissant, Dans l'espace libre qui leur est dévolu.
Les arrêts et tous les mouvements sont admis, Sans altérer l'incroyable sérénité, De ceux qui dans un bel esprit de compromis, Apportent dans le trafic la tranquillité.
Dans ce pays que j'aime comme étant le mien, Quand le ciel s'éclaircit, quand la rue s'anime, J'ai le cœur vietnamien.
L'hôpital est un domaine très accueillant. La douceur du personnel en donne la preuve. Prenant à tout souci d'un œil bienveillant, Il montre une force tranquille dans l'épreuve.
Les patients sont pris en charge suivant les cas. Un service adapté, soucieux de bien faire, A pour but de réduire le moindre tracas, Dans une démarche efficace et salutaire.
Dans ce pays que j'aime comme étant le mien, Quand le ciel s'éclaircit, quand le pays s'anime, J'ai le cœur vietnamien
