Quand jalousement devinons une présence, Aux milieux des bois, aux feuillages frémissants, Où d’amicaux vents aux souffles languissants, Caressent l’écho de Sa noble résonnance…
– Pose ma lèvre, sur ta bouche sans atours… Qui murmure à ma chaire sa tendre promesse, En ce délicat baiser que tu me confesses, Dont mon humble cœur, n’aura le moindre discours…
La note de musique que tu me proposes, Moi qui n’en connais pas, en devine la clef…, Et l’entend au tréfonds de nous… paupières closes… –
La Présence en ce lieu que Je vous ai gâté, Est et sera toujours… un socle où tout repose… ; Amour que je suis… est d’une infinie beauté…
