Nous investirons joyeux Le temple d’Aphrodite Qui se cache à nos yeux Mais qui émergera Bientôt De la forêt lointaine
Nous y déposerons Nos fardeaux quotidiens Nos doléances Nos revendications Nos peines Victimes ou bourreaux Vénus reconnaîtra les siens
Verbiage tendre Paroles distantes voire hautaines Propos délirants Rêves incertains Chimères lointaines Fantasmes Tous nos dires en méandres Serpenteront vers celle Qui domine et le temple Et la vallée fleurie Et le ciel