A la surface glauque De la mer irisée Par une couche épaisse D’huiles usées Des méduses mauves Et violacées Viennent se dorer Le nombril au soleil
Elles sourient à la vie Sous le ciel éclatant De la chaleur d’été Puis vient sonner l’heure D’aller s’échouer Sur le sable grisâtre Entre les baigneurs