Il se plaint d'être né De survivre trop longtemps Et de ne savoir comment Y couper court Sereinement
Il ne cherche rien d'autre Que de mourir en paix De clore les yeux Sans rien en lui qui bouillonne Ni lui torture l'esprit
Il voudrait s'éteindre Sans rancune Sans remords Sans regrets Délivré enfin Jusqu'à la plénitude Pour que s'ouvrent En douceur les rideaux Qui l'isolent encore De son effacement