San Stefano Belbo Que ne suis-je d'ici Plus près de toi Au coeur de ta poésie Paradis sans Dieu Sans Maître Sans faux bruits
Ô Pavese Je crois avoir lu dans tes yeux Les étoiles de la mort Ce sont celles qui brillent Qui brillent Et qui pour des siècles scintillent encore
Alors Que tout aura passé Tant nos défécations Que nos conventions bourgeoises Et les absurdités du monde Et les immondes illusions De nos rêves démesurés