La forêt depuis longtemps s’est tue Voulant passer inaperçue Echapper au déboisement Aux outrages des hommes de ces temps Et demeurer ce qu’elle fut Depuis le tout début De son histoire
La lutte est pénible Qu’on mène parfois Pour ne pas être vu
O merveilleux pouvoir De se blottir le soir Dans la noirceur profonde Epaisse et dense D’une nuit sans lune