Les mouches sans répit Envahissent mon crâne Elles y entrent par Les nombreuses fêlures Et n’en sortent jamais
Elles y tournoient Se posent parfois Sur les parois Reprennent leur envol Vrombissent Se posent à nouveau Et finissent Ecrasées de douleur Par y périr Y pouririr Y subir le sort Ordinaire des morts