Les herbes folles N'attendent plus Que des poètes Les foulent aux pieds Elle se font mener Par le bout du nez A l'asile d'aliénés
Les kobolds ne Fréquentent plus plus guère L'herbe noire Ils s'en vont porter la guerre Et le désespoir Dans le camp d'en face De l'autre côté de la frontière Où la haine fleurit Comme au printemps le pommier