Dans l’épais feuillage Des grands arbres qui Bordent la route A l’entrée du village J’ai vu des visages Qui ressemblaient au tien
Ils m’épiaient Me guettaient Suivaient le moindre De mes mouvements Cherchaient-ils à me nuire Je n’en suis pas certain L’un d’eux d’ailleurs Semble m’avoir souri
Quelle est la vraie nature Du lien qui t’unit A la verte parure D’un arbre parmi Tant d’autres