Il n’est de cris plus agaçants Que ceux générés Par les accouplements Des nains de jardin
Même les dieux Les plus accommodants Ne supportant plus Leurs orgasmes bruyants Mandatent parfois A leur encontre Des anges exterminateurs Qui profitent du cœur Des longues nuits d’hiver Pour les fissurer Les craqueler Les fêler Les briser Les réduire en poussière