De la lutte implacable Entre le feu et l'eau C'est l'air que tu respires Qui sort toujours vainqueur Comme le temps mort Couronné De succès pour échapper A la lutte des heures
Chaque fois que tu viens En ces lieux protégés Par le velours bleuté Des collines lointaines A l'écart des folies A l'abri des joies Et des peines Tu porte un oeil dilaté Sur le monde retrouvé De tes ancrages d'enfant Sage et tranquille Et tu te promènes Dans les étages d'une maison Enracinée au coeur De la vieille ville