Alfred de Musset, mon ami Vous avez allongé ce poème Si beau ! Que mon cœur trouvait si joli Alfred de Musset, comment faire ? Ce poème merveilleux, magique aussi « Me ressemblait comme un frère »
Dans ce temps où le temps nous manque trop souvent Alfred de Musset, belle Âme Dans « La nuit de décembre » de 1820 Quand vous étiez écolier Je me rappelle, bizarrement ( !) Votre très grande amitié
Dans ce livre ouvert, on a lu un instant L’âme du monde en poèmes Dans « La nuit de décembre » de 1820 Où j’étais avec vous ( !) comme je suis, maintenant Frère, d’une époque plus moderne
Mon poème s’arrête (minime, ici) Pourtant il voudrait comme un frère Dire sincère, ce qu’il pense, et si… On pouvait, le faire, plus beau, raccourci… Raconter cette merveilleuse « atmosphère »
Car je suis d’une époque où le temps est parti Pourtant, je l’avais pris pour un frère… ! En prenant avec lui ces jours infinies Où je courais (insouciant) plus vite que lui Si joyeux, autour de la Terre !