Quand je la vois encore petite Mon cœur subitement et sans raison se serre (ô la douleur que c’est que d’être père!) Et je refuse de voir filer le temps si vite
Elle seule apaise encore mes souffrances Quand elle me sourit gentiment Alors j’oublie les problèmes et leurs tourments Quand elle m’entraîne dans ce monde virevoltant de l’enfance
Que nous devrions jamais quitter pour rester éternel! Mais, les heures mortelles passent inexorablement Et effacent l’empreinte du merveilleux et de l’enchantement
O Douce Bérénice! n’oublie jamais ton petit papa N’oublie jamais la tendresse de mes bras N’oublie jamais les temps joyeux des jeux d’autrefois