Les marins sont marris de trimer un mardi Tandis que l’amiral rame avec un mari Que marine, tout amarante, sa Marie D’avoir désarrimé sa guêpière au rami.
La marmaille de la marine s’est marrée Mais oui, l’amiral doit s’escrimer, enrhumé, La marmite de la mutine sans rimmel S’épandant quand elle mira le caramel
De l’amiral si déconfit qu’il en rimaille Tandis que le mari l’arrime à ses ramilles Puis va le déramer, bramant dans la margaille Et la mirlitoniste, elle, s’admire en caille.
Quand l’amiral marron ranime ses ramures, Il se morfond, miné, mouchant ses emmanchures, L’amirauté et les marins rient de son crime Et vont lui murmurer quelques amères rimes.
« Il faut des tripes pour jouer au strip rami, Grime ton gros slip quand marmonne le mari ».
