Souvent, Il m'arrive de parcourir ce livre, Ou de me remémorer un de ses chapitres. C'est en cette Bible vulgaire, en ces épîtres Que puise le flâneur en son verbe, de vivre.
Ce conte, lu alors qu'écrit, qui ne délivre Son premier rôle et lecteur, gai ou triste pitre, De s'imaginer le seul auteur au pupitre Ou de s'irriter d'un récit de l'aube à suivre.
Qu'elles soient Indéchiffrées ou vierges, des pages Sont à revêtir. Un homme se croyant sage De l'invisible aux yeux, les couvre mais s'enivre.
Ne pas célébrer le passé, ses souvenirs, Mais en plaisante compagnie sur l'avenir Palabrer et rire. Je veux simplement vivre !