Carolaïne a le feu, elle s'étend, lascive, Frétillant de derrière, implorant de devant, Son corps tout entier s'abandonne à l'ogive... – Mais ce n'était qu'un rêve : à l'ouest nul soupirant !
L’exquise tyrannie des hormones félines Irradie chaque fibre et fait naître un frisson Jusqu'à l'antre exhibé ou suinte la cyprine – Un râle énamouré espère l'unisson !...
Serais-je assez cruel pour te laisser souffrir ? – Ah ! tes miaou-miaou m'empêchent de dormir ! Dois-je laisser un mâle errant faire l'office ?...
Hélas on ne saurait que faire des chatons... – Alors pour mettre un terme au délicieux supplice, Je te rachèterai tes foutus cachetons !