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Frédéric LIOT DE LILLE

Je me rendais sous la ramée (imité de l'écrivain Heine)

Je me rendais sous la verte ramée,
J'étais vraiment seul et vraiment peiné,
Lorsque cette rêverie cachée
Revint tourmenter mon coeur esseulé.

D'où tenez-vous ce petit mot
Oisillons de la frondaison ?
Faites silence ! Ce ragot
Me fait mal même sans raison.

"Une demoiselle était là
Qui le chantonnait sans cesse,
Et nous l'avons su comme ça,
Ce mot doré de princesse."

Ne dites rien, soyez discrets,
Intelligents petits oiseaux, vous
Voulez me voler mon secret,
Moi à personne je l'avoue.

Huit février 2013

Variantes (huit février 2013 sauf vers 3 : douze)

Fin vers 1 : sous la verte feuillée,
Vers 3 : Quand cette rêverie à tous cachée
Fin vers 7 : Ce doux mot
Vers 8 : Me fait souffrir non sans raison.
Vers 12 : Ce joli/charmant mot de princesse.
Vers 15 : Voulez connaître mon secret.

Transformation du texte (huit février 2013)

Premier quatrain
Il se rendait sous la verte ramée,
Il était solitaire et peiné,
Quand cette rêverie cachée
Revint tourmenter son coeur esseulé.

Second et quatrième quatrain
Ces vers sont encadrés de guillemets.

Titre : Il se rendait sous la ramée/feuillée.

Transformation du texte (février 2013)

Premier Quatrain
Je me rendais sous la ramée/feuillée,
J'étais seul et vraiment peiné/vraiment seul et peiné,
Quand cette rêverie cachée
Revint saigner mon coeur blessé.

Note (20 février 2013) : Pour les variantes des 2ème et
3ème versions, il faut se référer aux variantes du 1er
Texte (la variante du vers 3 n'est pas retenue pr le n°3).