Zweifellsohne nötigenfalls jagt ein harter Prädator den anderen
Il existait un prédateur brutal Autrefois qui n’était pas un chacal
Il décimait ses proies aux alentours Et prospérait sans nul besoin de secours
Un jour il ne trouva sur son chemin Ni gazelle ni mouton ni lapin
Comment faire pour qu’il se restaure Restaient les fleurs et les carnivores
Je ne sais s’il devint alors sage En tous cas il montra du courage
Il s’attaqua à ses congénères Ce qu’il ne faisait pas d’ordinaire
Quand il n’y a plus en vue de bon coup La brute est un loup pour l’autre loup
Avril deux mille dix-neuf
Variantes (avril deux mille dix-neuf) VI Ni gazelle ni bison ni lapin VI Ni gazelle ni élan ni lapin VI Plus nulle proie pour faire un festin VII Que faire alors que je suppose X En tous cas il montra son courage XIII Quand il n’y a plus du tout de bon coup XIII Quand il n’y a pas en vue de bon coup XIII Quand il n’y a pas du tout de bon coup
Remarque (avril deux mille dix-neuf) On pourrait traduire le titre par : « Sans aucun doute, en cas de besoin, un dur prédateur chasse ses semblables. »
Note (avril deux mille dix-neuf) Le distique central finissant par le vers « Restaient les fleurs » peut être supprimé simplement.