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Frédéric LIOT DA LILLE

Trainqua sur une teenager qui languissait d’exister amoureusement (acroteleuton)

En quatre-vingt sept en août en fin de soirée
La nuit une teenager loin du sol natal
Languissait que pour un amant ça soit égal
Et s’en plaignit à moi je la laissai seule…

Octobre deux mille dix-huit

Variantes (octobre deux mille dix-huit)
I En quatre-vingt sept en août de cette année
I En quatre-vingt sept l’été en fin de soirée
II La nuit une teenager hors du sol natal
III Languissait qu’à un amant ça lui soit égal
IV Et s’en ouvrit à moi je la laissai seule…
IV Et s’en plaignit à moi j’ignorai la suite…
IV Et s’en plaignit à moi je ne sus la suite…
IV Et s’en ouvrit à moi j’ignorai la suite…
IV Et s’en ouvrit à moi je ne sus la suite…

Remarques (extraits - octobre deux mille dix-huit)
La jeune fille qui m’a inspiré le quatrain ci-dessus était une Allemande (...) Notre rencontre a eu lieu dans le sud de la France (…)

Notes (octobre deux mille dix-huit)
Au moment de l’écriture ou peu après l’écriture du second vers, je me suis rappelé la fin d’un vers de José-Maria de Heredia.

Note (novembre deux mille dix-huit)
Le mot « min. » a été remplacé par « teenager» au moment de la publication.