Trainqua sur une teenager qui languissait d’exister amoureusement (acroteleuton)
En quatre-vingt sept en août en fin de soirée La nuit une teenager loin du sol natal Languissait que pour un amant ça soit égal Et s’en plaignit à moi je la laissai seule…
Octobre deux mille dix-huit
Variantes (octobre deux mille dix-huit) I En quatre-vingt sept en août de cette année I En quatre-vingt sept l’été en fin de soirée II La nuit une teenager hors du sol natal III Languissait qu’à un amant ça lui soit égal IV Et s’en ouvrit à moi je la laissai seule… IV Et s’en plaignit à moi j’ignorai la suite… IV Et s’en plaignit à moi je ne sus la suite… IV Et s’en ouvrit à moi j’ignorai la suite… IV Et s’en ouvrit à moi je ne sus la suite…
Remarques (extraits - octobre deux mille dix-huit) La jeune fille qui m’a inspiré le quatrain ci-dessus était une Allemande (...) Notre rencontre a eu lieu dans le sud de la France (…)
Notes (octobre deux mille dix-huit) Au moment de l’écriture ou peu après l’écriture du second vers, je me suis rappelé la fin d’un vers de José-Maria de Heredia.
Note (novembre deux mille dix-huit) Le mot « min. » a été remplacé par « teenager» au moment de la publication.