Sophie fut pleurée dans le silence obscur des nuits d’avril (acrostiche selon Emile Nelligan)
Sophie pleurée dans le silence Obscur des nuits d’avril Par quelqu’un dont la somnolence Habitait son exil Ignorait quelqu’un plein de douleur Et c’était mon doux cœur !
Octobre – décembre deux mille dix-huit
Remarques (octobre - décembre deux mille dix-huit) La dimension autobiographique du sixain ci-dessus est plutôt limitée. Il a été en partie inspiré par Emile Nelligan. Le poème d’origine n’est pas un acrostiche. Le titre de cette poésie est « Berceuse ».