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Frédéric LIOT DA LILLE

Nein, ich werde dich nie vergessen, was ich auch werde. (selon Rilke)

Non, jamais je ne t’oublierai,
Quoi que je devienne,
Soleil aux adorables rais,
Aurore terrienne.

La moindre de tes promesses,
Tu l’as tenue,
Depuis que je t’ai vue
Traiter mon cœur sans rudesse.

Figure brève, précoce
Quoiqu’entrevue à peine :
J’ose, car j’ai su la force,
Vanter le frêle sans haine.

Soirée du huit avril deux mille dix-neuf

Variantes (huit avril deux mille dix-neuf)
II Juste et adorable rai, (première version)
IV Prémices terriennes. (première version)
VIII Rompre mon cœur sans rudesse. (seconde version)
XI J’ose d’avoir su la force, (première version)
XII L’éloge du frêle. (première version)

Remarques (avril deux mille dix-neuf)
Si le poème est bien du huit avril 2019, le titre a été trouvé plus tard. Éventuellement, on remplace le point final par trois points dans ce dernier.