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Frédéric LIOT DA LILLE

Ich habe immer dein Bildnis wunderselig im Herzensgrund. (d’après Eichendorff)

Je garde au fond du cœur
Ton image merveilleuse.
Elle s’offre à moi, joyeuse,
Me procurant toujours du bonheur.

Mon cœur, tout bas, fredonne
Un magnifique et antique chant
Qui dans l’azur va s’élançant
Et vite vers toi s’envole.

Avril deux mille dix-neuf

Variantes (avril deux mille dix-neuf)
I Je garde tout au fond de mon cœur (seconde version)
II Son image merveilleuse (seconde version)
II Son image qui est merveilleuse (troisième ou quatrième version)
II Ton image qui est merveilleuse (troisième ou quatrième version)
IV Me souriant toujours (première version)
V Mon cœur, à voix basse, fredonne (seconde version)
VII Qui dans l’azur s’élance (première version)
VII Qui va dans l’azur s’élançant (troisième version)
VIII Et vite vers elle s’envole (seconde version)
VIII Et vers elle vite s’envole (troisième ou quatrième version)
VIII Et vers toi vite s’envole (troisième ou quatrième version)

Remarques (avril deux mille dix-neuf)
Le huitain ci-dessus a été écrit après avoir lu « Andenken » de Joseph von Eichendorff. Évidemment, les variantes avec « Ton » et « toi » ne vont qu’ensemble et les variantes avec « Son » et « elle » ne vont qu’ensemble. Dans le titre, le point final peut être remplacé par des points de suspension.