Vos
poèmes

Poésie Française : 1 er site français de poésie

Vos<br>poemes
Offrir
ce poème

Frederic GAFFIAT

Eon, l’air de rien !

Combien de mots ont coulé sous les ponts, ce sont amoncelés
Combien de maux coagulés pour former cet océan qui ne reflèt

Des siècles que dis-je, des millénaires, plusieurs ères, des
Quand à la préservation de l’habitat, le primate est plus év

Il faut dire que le singe vie pour ce qu’il est. Il ne fait
Il se préoccupe peu de son paraître et lorsqu’il commet des
Ces conditions lui suffisent donc à être et à vivre dans le

L’homme pense lui aussi qu’il est ; tout comme le primate ju
Là où ça déconne, c’est au moment où il veut le paraître…
L’afficher aux yeux du monde ; écran géant, caviar, champagn
A cet instant précis, il se met alors à jouir : ça y est, je
Jouissance absolue, nirvana, coït intersidérale limite liqué

Clap ! Clap ! Clap !

Le soucis c’est qu’a force d’à force, il ne restera plus rie
Le singe lui, n’a pas eu besoin de se créer toutes ces dépen

Mais après tout qu'importe, continuons, avançons vers ce gr