Elle vit 86 printemps et fit faux pas à l’aube du suivant.
Douce chandelle octogénaire Gravit d’une sagesse hors paire Toute avide d’émotion Tantôt rupine de savoir Un remède ; l’évasion Laissant un moment pour y croire Suivre son instinct et se taire Ardente façon de se plaire
Pieuse mère créatrice Dans l’union du Requiem Le soleil caché d’une éclipse Puisse en être resté indemne Se bercer dans un lit de roses À son étoile je prierai Veiller à notre pure osmose À l’instar de sa volonté
L’âme maintenant délivrée Se faire guider par la main Enfin, son être s’exhalter Sans rechercher notre dessein Une lumière céleste Illumine le firmament D’une grandeur titanesque Douce lueur de ce printemps